Accompagnement en fin de vie   Gers Accompagnememt

 Un échange autour d'un aspect des lois bioéthiques : l'accompagnement des personnes en fin de vie.
Nous en avons tous vécus, spécialement en famille, et nous partageons ces expériences.

Ce qui se dégage de la réflexion en petits groupes :

  • Les malades en fin de vie ont surtout besoin de se sentir aimés jusqu'au bout. A nous de leur manifester, verbalement ou par le toucher, notre présence aimante.
  • Plusieurs personnes du groupe sont engagées dans une équipe de soins palliatifs, ou de bénévoles sur les hôpitaux du secteur et nous bénéficions de leurs témoignages.
  • « Le corps médical apporte une aide efficace aux souffrances physiques. Mais nous regrettons que, souvent en hôpital, cette présence fasse défaut, ce qui entraîne, sans doute, des demandes plus radicales. 
  • Nous reconnaissons que ces passages sont difficiles à vivre, mais, en même temps, ils peuvent nous faire grandir dans l'Espérance et dans la remise de notre propre vie entre les mains du Seigneur. Ce sont des temps forts où parfois nous est révélée la grandeur d'une vie. »

Nous regardons comment Jésus a été attentif aux malades : la fille de Jaïre, le serviteur du centurion, et tant d'autres : paralysés, aveugles, sourds, etc. Et surtout, nous entendons l’annonce qu’Il fait de sa glorification en passant par la mort : « La voici l'Heure où le Fils de l'Homme doit être glorifié. Si le grain de blé ne tombe en terre et ne meurt, il reste seul. Mais s'il meurt, il porte beaucoup de fruits ». Jean 12, 23-24