Début février, les Frères et Soeurs d'Afrique (Bénin, Burkina Faso, Togo) se sont retrouvés, à Mariam Juali (centre d’accueil de Fada N’Gourma au Burkina Faso) en Assemblée avec des temps ensemble.
Des échos côté Frères par Fr Pierre R
Beaucoup de frères sont venus. Seuls quelques frères étudiants n’ont pu participer à la rencontre. Il y eut deux journées de travaux intenses. Le premier jour, nous avons entendu l’intervention des différentes équipes, le rapport du prieur régional, celui de l’Econome régional et une intervention du Prieur général. Puis nous avons partagé sur les questions posées. La deuxième journée il y eut des travaux en carrefour et des remontées sur les questions que les frères trouvent importantes à débattre en Chapitre. Dans les débats, on peut noter que les frères veulent intégrer l’auto prise en charge dans la mission. C’est la mission qui doit nous guider dans nos choix économiques et non notre seul souci de gagner plus d’argent… Tout s’est passé dans un bon climat fraternel.
Le dimanche fut une journée de la communion (Laïcs/sœurs et Frères) très riche : "Défi de la Communion : Laïcs et vie religieuse".
Parmi les deux groupes de laïcs, trois délégués sont venus du Togo et du Bénin : Arsène, Guénolé et Emmanuel. Un dialogue ou chacun avait le souci d’écouter l’autre et de le comprendre nous a vraiment enrichis dans nos divers états de vie.
Des échos de ce que les Soeurs ont vécu par Sr Lucie et Sr Martine
Avec la joie des retrouvailles, la journée du samedi a été un temps d'exposé, d'échange et de partage sur certaines activités d'évangélisation et de développement vécues dans les prieurés. Les soeurs trouvent des formes d'engagement qui leur permettent de rejoindre la population, sans chercher à faire des différences, par exemple entre chrétiens, animistes et musulmans. Pas si facile que ça ! Pas simple non plus de travailler avec les "financeurs" et l'administration; et quelle joie lorsqu'une soeur peut former une autre personne capable de prendre à son tour l'activité en charge ! Grâce à l'expérience et aux capacités des Soeurs, des points essentiels ont été soulignés pour étayer le discernement.
Le désir du partage de foi, et de l'évangélisation, est très vif. Ainsi à l'occasion de certaines activités de développement des partages de foi sont vécus autour de la Parole de Dieu et dans la prière.
La journée s'est poursuivie par la mise en commun et l'échange autour des questions (défis) relevées par les prieurés pour être étudiées au Chapitre. Les trois prieurés se rejoignaient sur les mêmes points...!
Profitant de ce rassemblement nous avons vécu ensuite deux jours de sessions d'approfondissement sur quelques points essentiels pour vivre et se renouveler dans notre désir de suite du Christ. Ces deux journées étaient bien dans la ligne d'un chapitre général qui est un temps de relecture et appel à la conversion".
Voir l'album photos : 2015.Assemblées d'Afrique
Beaucoup de frères sont venus. Seuls quelques frères étudiants n’ont pu participer à la rencontre. Il y eut deux journées de travaux intenses. Le premier jour, nous avons entendu l’intervention des différentes équipes, le rapport du prieur régional, celui de l’Econome régional et une intervention du Prieur général. Puis nous avons partagé sur les questions posées. La deuxième journée il y eut des travaux en carrefour et des remontées sur les questions que les frères trouvent importantes à débattre en Chapitre. Dans les débats, on peut noter que les frères veulent intégrer l’auto prise en charge dans la mission. C’est la mission qui doit nous guider dans nos choix économiques et non notre seul souci de gagner plus d’argent… Tout s’est passé dans un bon climat fraternel.
Ø Une journée de la communion (Laïcs/sœurs et Frères) très riche.
Parmi les deux groupes de laïcs, trois délégués sont venus du Togo et du Bénin : Arsène, Guénolé et Emmanuel. Un dialogue ou chacun avait le souci d’écouter l’autre et de le comprendre nous a vraiment enrichis dans nos divers états de vie.
Nous avons évoqué la question de la participation au chapitre de deux Laïcs de l’Afrique; cette question sera posée à la coordination France pour voir quel mode de financement pourrait se faire ? Faut-il demander à La coordination de France et aux deux Congrégations de nous aider?