Cher frère JULIEN, nos routes se sont croisées quand tu as pris la responsabilité de l'équipe ouvrière
agricole de la JAC à PARIS derrière André Glavieux.
Sur le plan tempérament la douce rivière après le torrent.
Avec toi pas d'éclat, tout dans l'explication, le raisonnement,
et l'obstination à effectuer la mission confiée.
Poursuivre le travail de l'équipe ouvrière agricole
dans la prise de conscience de notre valeur d'homme,
la nécessité de nous former pour être crédibles.
Ton entrée chez les F M C et la poursuite de ma vie, alors plutôt erratique, nous ont un peu éloigné, tu es parti 17 ans au TOGO.
Engagé dans le syndicalisme des retraités C F D T en Essonne, j'ai retrouvé notre ami André Glavieux, nous avons parlé, et, mijoté écrire sur notre période JAC, cela à fait boule de neige, tu nous as dés le départ encouragés, cela à abouti au livre que nous avons diffusé où les F M C ont largement pris leur part ; qu'ils en soient ici remercié. Ami Julien tu as été pour moi l'ami chaleureux et compréhensif qui m'a aidé à me construire et me rappeler la mission que nous avions tous à mener : être apôtre dans notre milieu d'ouvriers agricoles, par nos engagements professionnels, syndicaux, sociaux, toi, à ta place, chez les F M C, avec ton charisme, fait de douceur, de sourire mais aussi d'attention et de volonté. Pour tout ce que tu nous a apporté Merci.
André Franchet