« Serviteur dans l'Église, le Prieuré n'oubliera pas qu'il l'est par le diocèse... Le Prieuré ne servira bien — cela va de soi — que s'il vit et exerce ses activités par le diocèse. Il est une petite cellule du Corps du Christ total. [...]
Il devra être en communion de vie et d'action avec tous les membres de l'Église, aimant à découvrir les richesses et les pauvretés de tous les hommes, s'intéressant aux infinies variétés de l'action de l'unique Esprit dans le monde, priant avec tous les priants, pour tous les priants et pour les autres, accomplissant son œuvre modeste, limitée, celle qui est la sienne, en liaison avec tous les efforts apostoliques que la hiérarchie identifie comme efforts d'Église.
Un Prieuré manquerait à sa mission s'il n'était pas préoccupé de vie diocésaine. Ne seront vrais Prieurés de Frères Missionnaires et de Sœurs des Campagnes que ceux qui auront l'esprit diocésain. » (Chronique. Juin-Décembre 1954 ; Mars 1955)